Salut c’est cool, Ouai Stéphane, Gérard Jugno 106
Concert
vendredi 05 avril 2019

Concert produit par l’OH/Le Confort Moderne

Avant le début d’une soirée en compagnie de trois artistes tous aussi fou les uns que les autres, la Fanzinothèque vous propose de découvrir sa nouvelle exposition. Rendez-vous à partir de 20h pour le vernissage de l’exposition Going To Japan de Ben Sanair artiste et sérigraphe. Entrée libre!

 

 

Salut c’est cool
Techno Dada
FR

S’ils se sont d’abord fait connaître par leurs sautillants concerts électro-punks, s’ils forment à eux quatre, entourés de leurs amis, une sympathique tribu, Salut c’est cool doit surtout être considéré aujourd’hui comme un collectif artistique, qui évolue entre l’art du gros son, les voix fluettes de la poésie et le bricolage vidéo-numérique. Sous des allures désinvoltes, amateuristes voire même décérébrées tant ils cultivent volontiers les figures de l’idiotie, Salut c’est cool mène à l’évidence une expérimentation poussée d’un art qui néglige le système de l’art contemporain, qui ignore les frontières du haut culturel et du bas populaire, du réel et du virtuel, de l’art et la vie pour reprendre le grand thème des avant-gardes artistiques du XXe siècle dont ils sont un prolongement à l’âge du post-internet et de YouTube

Ouai Stéphane
Electro Ouai
FR

Vous aimez le second degré ? ça tombe bien, on est dans le thème avec Ouai Stéphane. Ouai Stéphane c’est un univers unique et complètement zinzin autour de ce personnage terriblement intrigant. Même si il décrit sa musique comme de la musique tout simplement, on peut dire qu’on découvre avec lui une musique électronique dans tous ses états, qui passe par les expérimentations les plus folles et par les bricolages les plus inimaginables sur tous les instruments qu’il détourne, pour un résultat aussi étrange que entêtant.

Gérard Jugno 106
Dance
FR

Gerard Jugno 106 est le projet solo technoïde d’un des fondateur du label Linge Records. Égratigné par les angles de l’hexagone, ses sons industriels froids et tranchants cohabitent avec des grooves insidieux, des samples et des synthés triturés et en roue libre. Un son garanti 80 % dancefloor (sauf quand le kick s’arrête) qui fera sans doute plaisir aux amateurs de Green Velvet, Schwefelgelb ou Mr Oizo.